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Devenir traducteur freelance : Comment faire ?

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Article mis à jour le 07/05/2024

Par Gabriel Vanderbecken

Gabriel Vanderbecken

Gabriel, as de la création d'entreprise est un collectionneur de diplômes (trois à son actif en gestion, négociation et management, rien que ça !). En 1 an il a créé plus de 250 sociétés. Passionné par le sport et motivé par le fait de concrétiser les rêves de ses clients, il est toujours prêt à discuter d’idées innovantes et d’aider des entrepreneurs à se lancer ! Sa création la plus originale ? Un site de rencontre pour Végan, pour trouver sa moitié en toute simplicité !

Sommaire

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Résumé de l'article

Découvrez le monde du traducteur freelance, un secteur en constante évolution et toujours en demande malgré les progrès de l'intelligence artificielle et de la traduction automatique. Cet article vous guide à travers les étapes clés pour démarrer votre activité de traducteur dans les meilleures conditions. Alors si vous souhaitez vous lancer vous êtes pile au bon endroit ! 

Podcast pour réussir à se lancer en tant que traducteur freelance

Outre les avancées de l'intelligence artificielle et de la traduction automatique (nécessitant toujours l'intervention de l'homme), le métier de traducteur demeure un domaine d'activité en constante évolution où la demande reste importante. Dans le monde, on compte plus de 640 000 traductrices, traducteurs ou interprètes selon le syndicat SFT (société française des traducteurs).

Si vous avez une passion pour les langues étrangères, vous pouvez considérer de devenir traducteur freelance sans hésitation. Cet article vise à explorer toutes les facettes du métier de traducteur, afin que vous puissiez démarrer votre activité dans les meilleures conditions.

Devenir traducteur freelance : Le résumé Swapn fiche métier traducteur

Qu'est-ce qu'un traducteur freelance ?

Le traducteur freelance a pour mission de traduire un texte depuis une langue (la langue source) vers une autre langue (la langue cible). Il doit restituer le plus fidèlement possible le texte original dans la langue cible sans perdre le style de l’auteur. Le traducteur doit bannir la traduction littérale au mot par mot et s’attacher à interpréter le texte.

Les missions d'un traducteur en freelance peuvent être les suivantes :

  • Traduire les documents demandés ;
  • Relire et corriger le texte traduit ;
  • Résoudre des dilemmes linguistiques ;
  • Se documenter sur un sujet précis.

Il y a trois domaines d'activité majeurs pour les traducteurs freelances :

  • Le traducteur littéraire est responsable de la traduction d'œuvres littéraires dans leur ensemble (romans, livres pratiques...). Il collabore avec des éditeurs et bénéficie d'une rémunération en droits d'auteur.
  • Le traducteur technique travaille dans des domaines techniques tels que le droit, la médecine, les finances, l'audiovisuel... Il est aussi possible de devenir traducteur en langue des signes. La spécialisation dans un domaine spécifique offre la possibilité de facturer davantage qu'un traducteur généraliste.
  • Le traducteur assermenté est un diplômé du ministère des Affaires étrangères, qui effectue la traduction de documents juridiques et officiels tels que des actes notariaux et des actes d'état civil. Il a également la possibilité d'assister la Justice dans le cadre de son activité. Son rôle est d'assurer la conformité des traductions en apposant son tampon sur les documents traduits.

Pourquoi envisager une carrière de traducteur freelance ?

En tant que traducteur indépendant, vous bénéficiez d'une grande autonomie sur la gestion de votre travail. L’un des principaux avantages et de pouvoir gérer votre temps comme bon vous semble. De plus, vous pourrez organiser vos journées de travail en fonction des délais imposés par vos clients et de la masse de travail que vous avez à effectuer.

Grâce à internet, les traducteurs freelances peuvent travailler où bon leur semble. Ainsi, les plus casaniers peuvent privilégier le télétravail et rester à leur domicile tandis que les globe-trotters pourront travailler un jour à Paris, l’autre à Londres puis la semaine d’après à New York.

Aujourd'hui, sur le marché de la traduction, la demande de la langue anglaise est la plus demandée, mais certaines langues sont en plein essor tel que le chinois, le russe ou l'arabe. En ce qui concerne les domaines d'activité, les plus prometteurs incluent le droit, la santé, les technologies, les administrations publiques, ainsi que la finance.

Est-il nécessaire d'avoir un diplôme spécifique pour être traducteur freelance ?

En France, la profession de traducteur est un secteur libéral non soumis à des réglementations. Cela signifie qu'il n'y a pas besoin de formation. Il est donc parfaitement envisageable d'être traducteur sans avoir de diplôme.

Cependant, détenir une certification ou avoir une formation ou une expérience en traduction offre un avantage par rapport à la concurrence. Cela consolide votre crédibilité et apaise les clients, qu'ils soient des individus ou des entreprises.

Des diplômes préparent tout même au métier de traducteur. Des écoles spécialisées (privée ou publique) tel l'Esit, l'Isit ou encore l'Inalco propose des formations sur cinq ans après l'obtention du bac pour être agréé du diplôme spécifique de traducteur.

D'autres cursus existent tel que l'université en y préparant une licence de langues (LEA ou LLCE) suivie d’un master 2 en traduction. À ce niveau, le choix des langues sélectionnées doit être mûrement réfléchi.

Comment faire pour devenir traducteur freelance ?

Élaborer un Business Plan et définir un tarif journalier

Selon les données recueillies par malt.fr, le Tarif Journalier Moyen (TJM) en France s'élève à 298€. Cette statistique témoigne de la rémunération moyenne des professionnels indépendants dans le pays, offrant un aperçu de la dynamique économique et des normes tarifaires en vigueur dans le secteur de la traduction en freelance.

Expérience Tarif moyen
0 - 2 ans 199€
3 - 7 ans 242€
8 - 15 ans 298€
15 ans et + 355€

Pour élaborer un business plan solide en tant que traducteur, il sera nécessaire de définir clairement votre domaine d'activité, le marché cible, et votre stratégie de mise en marché. 

Une analyse financière détaillée, incluant les prévisions de revenus, les coûts et le seuil de rentabilité, est essentielle pour vous projeter dans l'avenir. Ce prévisionnel sera aussi un élément de réassurance pour les établissements financiers si vous souhaitez financer votre projet.

Le business plan est un outil d'aide pour clarifier votre vision, évaluer la faisabilité économique du projet, attirer des investisseurs, planifier le développement et minimiser les risques. De plus, il renforce la cohésion de l'équipe en fournissant une référence commune et des objectifs partagés.

Choisir le statut juridique

En tant que traducteur indépendant, vous serez responsable de votre travail. Il est donc nécessaire de sélectionner votre structure juridique en conséquence. Nous vous présentons ci-dessus les statuts favorisés par les freelance lors du lancement de leurs activités :

La micro-entreprise :

Ce régime est le choix idéal pour commencer votre carrière de traducteur, car il vous offre la possibilité de vérifier si celle-ci sera rentable. Il n'est pas possible de déduire vos charges du régime micro, mais cela n'est pas problématique pour les traducteurs qui ont généralement peu de frais professionnels.

La principale caractéristique du régime micro est sa simplicité de gestion. Vous avez accès à un régime social et à un régime fiscal spécifiques.

Le régime micro-social vous permet de payer des cotisations sociales équivalentes à 21.2% de votre chiffre d’affaires. Cependant, ce régime vous impose une limite de chiffre d'affaires annuel de 77 700 € hors taxes pour les activités libérales en 2024.

L'entreprise unipersonnelle (SASU ou EURL) :

Si votre entreprise se développe et dépasse les seuils de la micro alors la société unipersonnelle peut être une option envisageable. La création d'une telle structure nécessite une gestion plus complexe que celle d'une micro-entreprise (gestion d'une comptabilité, surveillance de la trésorerie, etc.).

Votre responsabilité est restreinte aux apports. Vous avez donc deux options : l'EURL (entreprise à responsabilité limitée unipersonnelle) ou la SASU (société par actions simplifiée unipersonnelle).

L'imposition est basée sur le revenu en EURL tandis qu'elle est sur les sociétés en SASU. En EURL, vous êtes travailleur non-salarié alors qu'en SASU vous êtes assimilé-salarié. Ce qui signifie que vous payerez plus de cotisations sociales en SASU (75%) mais bénéficiez d’une protection sociale plus étendue par rapport à un travailleur non-salarié en EURL (45%).

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Déterminer le montant du capital social

Toutes les sociétés ont obligatoirement un capital social de minimum 1€. Le capital sert à répartir les droits de vote entre les associés d’une société. Ceux qui apportent le plus disposent généralement du pouvoir de décision.

Le dépôt de capital s'effectue avant le dépôt de votre dossier au greffe et constitue le montant que vous souhaitez intégrer à l'ouverture de votre société, à savoir que ce montant sera présent sur le kbis et constitue donc une information importante en cas d'emprunt, mais aussi et surtout de crédibilité vis-à-vis de vos clients et de vos fournisseurs,

Chez Swapn, nous conseillons en règle générale un capital social de 500€ jusqu'à 1 000€ qui sera utilisable pour la société une fois cette dernière immatriculée.

Rédiger les statuts de l'entreprise

La rédaction des statuts d'une entreprise est un processus détaillé et obligatoire qui liste l'ensemble des règles propres au fonctionnement et à la gouvernance de la société. Il débute par l'identification de l'entreprise, incluant son nom et adresse. L'objet social précise l'activité principale, tandis que la durée, souvent fixée à 99 ans, définit la période opérationnelle.

Procéder à l'immatriculation pour un traducteur freelance

Après avoir choisi votre forme juridique et rédigé vos statuts, vous devrez vous immatriculer auprès du greffe de votre région pour obtenir un numéro d'identification fiscal et, selon le cas, auprès de la sécurité sociale ou de l'organisme équivalent pour votre couverture santé, retraite, et autres cotisations sociales.

Pourquoi se faire accompagner lors du lancement de son activité de traducteur freelance ?

Se faire accompagner lors du lancement de son activité de traducteur freelance par une structure telle que Swapn vous permet de déléguer la totalité des tâches administratives liées à la création de votre société pour vous concentrer sur ce qui compte le plus pour vous, votre projet.

En tant que freelance, l'aventure peut être solitaire et stressante. Être accompagné offre un soutien moral non négligeable, permettant de surmonter les périodes de doute et de bénéficier d'un feedback constructif sur votre projet de création.

Enfin, il est bon de savoir que l'accompagnement Swapn est totalement gratuit ! Du conseil sur votre forme juridique, à la rédaction de vos statuts jusqu'à la réception de votre Kbis, notre offre est à 0€ si vous créez seul et 99€ HT si vous créez à plusieurs.

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Quelles aides sont disponibles pour les traducteurs freelance en devenir ?

Spécifiquement pour les traducteurs, nous avons sélectionnés 3 aides et dispositifs de soutien sollicité par les freelance pour faciliter le démarrage de votre projet :

  1. ACRE (Aide aux Créateurs et Repreneurs d'Entreprise) : L'ACRE est une exonération partielle de charges sociales pendant la première année d'activité, destinée à faciliter le lancement de nouvelles entreprises. Les travailleurs indépendants peuvent bénéficier d'un taux réduit de cotisations sociales pendant leurs premiers mois d'activité. L'éligibilité à l'ACRE dépend de certaines conditions liées au projet et à la situation du créateur.

  2. ARCE (Aide à la Reprise ou à la Création d'Entreprise) : L'ARCE permet aux bénéficiaires de l'ARE (Aide au Retour à l'Emploi) qui créent ou reprennent une entreprise de recevoir 60% des droits à l'ARE restants sous forme de capital en 2x (30% à la création et 30% 6 mois après), facilitant ainsi le financement du démarrage de leur activité.

  3. ARE (Aide au Retour à l'Emploi) : Pour les demandeurs d'emploi souhaitant créer leur entreprise, l'ARE peut être maintenue sous certaines conditions, leur permettant de recevoir un soutien financier tout en développant leur activité.

En plus de ces aides, il existe de nombreux dispositifs d'accompagnement et de formation spécifiquement conçus pour les créateurs d'entreprise, tels que les couveuses d'entreprises, les incubateurs, les programmes de mentorat, les subventions régionales ou encore les prêts d'honneur.

Quel budget prévoir pour se lancer en tant que traducteur freelance ?

En moyenne, il est raisonnable de prévoir entre 2 000 et 5 000 euros. Cette fourchette couvre les frais légaux, l'achat de matériel et de logiciels, ainsi que les coûts opérationnels initiaux. Nous vous détaillons les coûts ci-dessous :

Frais légaux

  • Création d'entreprise ou immatriculation : Gratuit en passant par Swapn et jusqu'à plusieurs centaines d'euros chez des concurrents.
  • Assurance responsabilité professionnelle : environ 100 à 300 euros par an, selon la couverture.

Frais opérationnels

  • Internet et télécommunication : environ 20 à 50 euros par mois.
  • Site web professionnel (nom de domaine, hébergement) : 100 à 200 euros pour le démarrage puis environ 50 à 100 euros par an pour l'entretien.
  • Marketing et promotion : variable, mais prévoir au moins 200 à 500 euros pour les premiers mois.

Quels sont les outils indispensables pour un traducteur freelance ?

Pour un traducteur freelance, disposer des bons outils est crucial pour garantir efficacité, professionnalisme et compétitivité.

swapn la fiche metier outils traducteur

Logiciel de Traduction Assistée par Ordinateur (TAO)

  • OmegaT : Gratuit, open source, excellent pour les débutants ou ceux qui ont un budget limité. Idéal pour des projets de traduction de taille moyenne et pour les traducteurs préférant une solution open source.
  • CafeTran Espresso : Propose une version gratuite limitée et une version payante (achat unique d'environ 200 €). Convient aux freelances cherchant une alternative abordable avec un support pour divers formats de fichiers.
  • SDL Trados Studio : L'un des leaders du marché, reconnu pour ses fonctionnalités avancées. Le coût peut être élevé pour les freelances (plusieurs centaines d'euros pour la version la plus récente), mais il s'agit d'un investissement qui peut valoir la peine pour ceux qui travaillent régulièrement sur des projets complexes ou volumineux.

Gestion de Projets

  • Trello : Gratuit pour les fonctionnalités de base, avec des options payantes pour plus de fonctionnalités (à partir de 9,99 $ par utilisateur/mois). Idéal pour la gestion visuelle des tâches et projets.
  • Asana : Offre une version gratuite avec des fonctionnalités limitées; les plans payants commencent à 10,99 $ par utilisateur/mois. Bien adapté pour les équipes et les projets plus complexes.
  • ClickUp : Version gratuite disponible; les versions payantes offrent plus d'options de personnalisation et de gestion, à partir de 5 $ par utilisateur/mois.

Communication avec les Clients

  • E-mail professionnel: Souvent inclus dans le coût d'hébergement d'un site web; les prix peuvent varier mais commencent généralement autour de 5 € par mois pour un service de base.
  • Plateformes de visioconférence:
    • Zoom : Gratuit pour les appels de base avec une limite de 40 minutes sur les réunions de groupe. Les plans payants commencent à 13,99 € par mois.
    • Skype : Gratuit pour les appels audio et vidéo entre utilisateurs Skype, avec la possibilité d'acheter des crédits pour appeler des lignes téléphoniques traditionnelles.
    • Microsoft Teams : Inclus dans les abonnements Microsoft 365, avec une option gratuite offrant des fonctionnalités limitées.

Gestion de l'Entreprise

  • Tiime Invoice : Solution de facturation gratuite pour les entrepreneurs, idéale pour gérer les factures et les paiements.
  • Tiime Business : Compte bancaire professionnel vous permettant de disposer d'un IBAN Francais, d'une carte bleue Mastercard avec aucun frais caché de compte et aucune commission.

Matériel

Bien que les logiciels soient essentiels, ne négligez pas l'importance du matériel :

  • Ordinateur fiable et rapide: Essentiel pour gérer les logiciels TAO et de gestion de projet. Le coût peut varier largement en fonction des spécifications, mais un bon ordinateur pour la traduction et la gestion d'entreprise peut coûter entre 800 et 2000 €.
  • Connexion Internet stable: Cruciale pour la recherche, la communication avec les clients et l'utilisation de logiciels basés sur le cloud. Les coûts varient selon les fournisseurs et les régions.

En combinant ces outils logiciels et matériels, un traducteur freelance peut créer un environnement de travail productif et professionnel, capable de répondre efficacement aux besoins des clients et de gérer divers projets de traduction.

Conseils d'experts pour réussir en tant que traducteur freelance

Une bonne gestion financière, incluant la facturation, la définition de tarifs compétitifs, et la gestion des impôts, est essentielle pour assurer la pérennité de votre activité. Le réseautage, à travers la participation à des conférences et événements professionnels, joue un rôle majeur dans l'élargissement de votre réseau de collègues et de clients potentiels.

Une communication efficace et claire avec vos clients est indispensable pour comprendre leurs besoins et pour établir des relations durables. Se spécialiser dans certaines niches peut vous aider à vous distinguer et attirer des clients à la recherche de compétences spécifiques.

Partager votre savoir-faire via des tutoriels, des études de cas, ou des critiques de logiciels de traduction peut enrichir la communauté tout en vous positionnant comme un expert dans le domaine. Engagez votre audience en interagissant régulièrement sur les réseaux sociaux, ce qui contribue à renforcer votre présence en ligne et à fidéliser votre communauté.

Pour des inspirations et des conseils pratiques, suivez des professionnels aguerris tels que Nikki Graham, Olga Jeczmyk, et Luke Spear sur les réseaux sociaux et YouTube, qui partagent leur expérience et leur expertise dans le domaine de la traduction freelance.

FAQ sur le métier de traducteur freelance

Quel est le salaire d'un traducteur ?

Selon l'étude de la société française des traducteurs (SFT)  en 2023, les interprètes reçoivent une rémunération brute moyenne de 50 000 euros par an. Selon les répondants, 31% affirment avoir un revenu brut annuel compris entre 30 000 et 50 000 euros bruts. En moyenne, les salaires obtenus grâce à l'interprétation s'élèvent à 2 900 euros par mois.

Quel statut pour traducteur indépendant ?

Le statut le plus fréquent pour les traducteurs indépendants est la micro-entreprise. Son régime fiscal simplifié et sa facilité de gestion permettent de bien pouvoir évaluer son projet sur les premières années. Mais attention au plafond de chiffre d'affaire. Si votre activité dépasse les seuils, vous serez dans l'obligation de basculer en société.

Comment trouver ses premiers clients ?

Il vous sera utile de pouvoir utiliser des plateformes comme Malt, Upwork, ou Freelancer, pour débuter efficacement. Créez un profil attrayant qui met en avant vos compétences et expériences. Assurez-vous de bien détailler vos services et d’ajouter un portfolio de vos travaux précédents pour attirer l'attention de vos premiers clients.

Quelles sont les spécificités réglementaires et les assurances nécessaires pour un traducteur freelance ?

Le traducteur freelance classique, il n'y a pas de réglementations strictes spécifiques à la profession, mais il est conseillé de souscrire à une assurance responsabilité civile professionnelle. Celle-ci couvre les dommages pouvant être causés dans le cadre de votre activité professionnelle. Il est également important de respecter le droit d'auteur et de garantir la confidentialité des documents traités.

Traducteur assermenté : En plus des exigences ci-dessus, le traducteur assermenté doit être reconnu par une autorité judiciaire de son pays (par exemple, en France, être inscrit sur la liste des experts judiciaires de la Cour d'appel). Cette reconnaissance implique souvent des spécificités réglementaires supplémentaires, comme le respect de procédures spécifiques dans la traduction de documents officiels. L'assurance responsabilité civile professionnelle reste fortement recommandée, voire obligatoire dans certains cas, pour couvrir les risques liés à l'exercice de cette profession réglementée.